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L'Institut français du Japon-Kansai met les 30 ans de la Villa Kujoyama à l'honneur de la programmation de la Nuit Blanche KYOTO 2022
10 minTous les ans, l'Institut français du Japon-Kansai met en scène la Nuit Blanche Kyoto, en résonance avec l’événement organisé à Paris, sa ville jumelée. Lors de cette 12ème édition du 1er octobre 2022, la Villa Kujoyama, qui fête ses 30 ans, a été mise à l’honneur de la programmation, avec la présentation des projets multidisciplinaires de ses lauréats anciens et actuels in situ, mais aussi hors les murs, dans différentes institutions partenaires. Voici un aperçu de l’événement en images !

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2/12Hall d’entrée de la Villa Kujoyama
Visiteurs dans le hall d’entrée de la Villa Kujoyama.

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3/12Performance de batterie « KéfuKéfu », par Yuko Oshima (lauréate 2021, musique)
Pendant sa résidence à la Villa Kujoyama, Yuko Oshima poursuit son apprentissage de la musique traditionnelle Nagauta aux côtés de maîtres japonais.

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4/12Céline Wright (lauréate 2021, métiers d’art) - cocons géants en papier washi
Pour cette Nuit Blanche, Céline Wright (lauréate 2021, métiers d’art) a conçu des cocons géants en papier washi aux formes organiques qui deviennent des abris protecteurs, installés au Kyoto City KYOCERA Museum of Art. Dans son studio, elle proposait aux visiteurs de découvrir le making-of de cette installation.

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5/12Studio de Ludivine Gragy (lauréate 2021, architecture)
Studio de Ludivine Gragy (lauréate 2021, architecture), dont les recherches interrogent la place de l’eau dans le satoyama, qui désigne en japonais un paysage dans lequel l’homme et le sol sont en étroite corrélation, une terre cultivée entre mer et montagne en perpétuelle évolution.

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6/12Johan Després (lauréat 2020, métiers d’art)
Johan Després (lauréat 2020, métiers d’art) proposait d’observer les gestes des sakan, les plâtriers japonais, et de s’essayer à la manipulation des enduits sur des supports afin de mieux comprendre les gestes des artisans.

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7/12Projet de conception et de construction de structures en bois Ki-Time
Ki-Time est un projet de conception et de construction de structures en bois à Kyoto dans le cadre d’une mobilité étudiante entre la France et le Japon. La pandémie a forcé les participants au projet à travailler ensemble dans un premier temps en ligne; cette année a finalement vu la concrétisation de leurs recherches, présentées par Yosuke Komiyama, professeur à la Graduate School of Engineering de l’Université de Kyoto.

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8/12Exposition « Monnaie de singe » de Bruno Botella
Exposition « Monnaie de singe » de Bruno Botella, conçue par la curatrice Karin Schlageter (lauréate 2021, critique d’art) au magasin Jasmin, à Gion. Cette exposition est le deuxième chapitre de son projet de recherche intitulé « 文車妖妃 ・La sorcière des Fuguruma », centré sur les héritages du vernaculaire et des arts traditionnels dans la création contemporaine.

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9/12Échange entre Karin Schlageter et Bruno Botella à la Villa Kujoyama
Échange entre Karin Schlageter et Bruno Botella à la Villa Kujoyama à propos de l’exposition « Monnaie de singe ».

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10/12Installation « Abri-Cocons! » par Céline Wright
Installation « Abri-Cocons! » par Céline Wright au Kyoto City KYOCERA Museum of Art. Le film Amamizu de Philippe Rouy (lauréat 2021, cinéma) fut projeté pendant toute la durée de l’installation.

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11/12Performance « YÛGO » de Yuko Oshima et Chizuru Kineya
Performance « YÛGO » de Yuko Oshima et Chizuru Kineya au Kyoto Art Center : une fusion entre un style de musique traditionnelle japonaise, le Nagauta Shamisen, et un accompagnement à la batterie aux sonorités jazz contemporaines.