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Crédits
© Zed Lebon
Terre Kombé Danse
Du 25 mars 2021 au 31 décembre 2023
Le projet «Terre Kombé Danse » est lauréat 2020 du programme Accès Culture.
Le projet
« Terre Kombé Danse » est un projet de développement culturel, territorial et économique mené en binôme par l’Espace CDC Baning’Art implanté à Brazzaville au Congo et le festival Les Rencontres à l’échelle – Bancs publics de Marseille. Proposant des ateliers accessibles à tous autour de la danse contemporaine, ce projet entend impulser une dynamique culturelle et artistique pérenne à destination de tous au cœur du quartier de Kombé à Brazzaville. Il poursuit le travail initié par l’Espace CDC Baning’Art et continue de développer sa structuration administrative et organisationnelle, de renforcer les liens sociaux existants au sein du quartier de Kombé et d’associer de nouveaux partenaires locaux afin d’étendre son périmètre d’action.
Titre
Julie Kretzschmar et les Bancs publics
Visuel
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© DR
Texte
Metteure en scène formée au Conservatoire d’Art Dramatique de Montpellier, Julie Kretzschmar fonde en 2001 la compagnie l’Orpheline est une épine dans le pied.
Cinq années plus tard, elle crée le festival international de création, Rencontres à l’échelle, porté par la structure de production et de coopération internationale, Les Bancs Publics, résidente à la Friche la Belle de Mai à Marseille.
Dédié à la création contemporaine internationale et émergente, Les Rencontres à l’échelle-Bancs Publics se déploient sur plusieurs axes : productions déléguées et accompagnement de parcours d’artistes, résidences internationales à la Friche, organisation d’un festival ou encore projets de coopération avec des opérateurs et des artistes du continent africain. Ces axes d’actions sont pensés et imaginés à partir des singularités du territoire d’implantation qu’est Marseille avec son multiculturalisme fort, sa topographie urbaine marquée par les parcours migratoires, ses cultures urbaines ou encore les identités plurielles de ses habitants.
Inspirée par ses nombreux voyages, notamment dans les pays du monde arabe et du continent africain, Julie Kretzschmar travaille régulièrement à partir de conversations avec des auteurs comme Kamal Daoud ou Alain Kamal Martial.
Dès 2010, elle initie une collaboration avec Mustapha Benfodil à partir d’une adaptation de son roman Archéologie du chaos (amoureux), qu’elle décline sous plusieurs formes de lectures présentées à Marseille et en Algérie.
Elle crée également en 2011 De mon hublot utérin je te salue humanité et te dis blablabla au théâtre des Salins-Scène Nationale des Martigues.
En 2013, dans le cadre « de Marseille-Provence 2013 – Capitale Européenne de la Culture », elle crée Kara’ une épopée comorienne à partir d’une adaptation d’un texte du conteur Salim Hatubou.
En 2017, elle signe la mise en scène et l’adaptation du roman Tram 83 (Métailié, 2014) de Fiston Mwanza Mujila, considéré comme l’une des nouvelles voix de la littérature congolaise.
Depuis 2020, elle porte, en binôme avec l’Espace CDC Baning’Art, le projet « Terre Kombé Danse » dont l’enjeu est, à ses yeux, de « s’attacher aux expressions artistiques qui témoignent de la diversité́ (…) afin de produire des récits et des histoires où chacune et chacun trouve sa place. »
Cinq années plus tard, elle crée le festival international de création, Rencontres à l’échelle, porté par la structure de production et de coopération internationale, Les Bancs Publics, résidente à la Friche la Belle de Mai à Marseille.
Dédié à la création contemporaine internationale et émergente, Les Rencontres à l’échelle-Bancs Publics se déploient sur plusieurs axes : productions déléguées et accompagnement de parcours d’artistes, résidences internationales à la Friche, organisation d’un festival ou encore projets de coopération avec des opérateurs et des artistes du continent africain. Ces axes d’actions sont pensés et imaginés à partir des singularités du territoire d’implantation qu’est Marseille avec son multiculturalisme fort, sa topographie urbaine marquée par les parcours migratoires, ses cultures urbaines ou encore les identités plurielles de ses habitants.
Inspirée par ses nombreux voyages, notamment dans les pays du monde arabe et du continent africain, Julie Kretzschmar travaille régulièrement à partir de conversations avec des auteurs comme Kamal Daoud ou Alain Kamal Martial.
Dès 2010, elle initie une collaboration avec Mustapha Benfodil à partir d’une adaptation de son roman Archéologie du chaos (amoureux), qu’elle décline sous plusieurs formes de lectures présentées à Marseille et en Algérie.
Elle crée également en 2011 De mon hublot utérin je te salue humanité et te dis blablabla au théâtre des Salins-Scène Nationale des Martigues.
En 2013, dans le cadre « de Marseille-Provence 2013 – Capitale Européenne de la Culture », elle crée Kara’ une épopée comorienne à partir d’une adaptation d’un texte du conteur Salim Hatubou.
En 2017, elle signe la mise en scène et l’adaptation du roman Tram 83 (Métailié, 2014) de Fiston Mwanza Mujila, considéré comme l’une des nouvelles voix de la littérature congolaise.
Depuis 2020, elle porte, en binôme avec l’Espace CDC Baning’Art, le projet « Terre Kombé Danse » dont l’enjeu est, à ses yeux, de « s’attacher aux expressions artistiques qui témoignent de la diversité́ (…) afin de produire des récits et des histoires où chacune et chacun trouve sa place. »
Titre
DeLaVallet Bidiefono et l’Espace Baning’Art
Visuel
Image
© Globe Trot'Art
Texte
Né à Pointe-Noire au Congo en 1980, DeLaVallet Bidiefono s’installe à Brazzaville en 2001 et entame sa carrière de danseur en participant aux ateliers de recherches chorégraphiques organisés par le Centre Culturel Français.
Quatre ans plus tard, il fonde à Brazzaville la Compagnie Baninga et signe sa première pièce Liberté d’Expression.
En 2008, la compagnie acquiert une renommée internationale, en remportant, grâce à la pièce N’Djila na N’Djila, le second prix du concours Danse l’Afrique Danse des 7èmes Rencontres Chorégraphiques de l’Afrique et de l’Océan Indien, organisé à Tunis.
DeLaVallet Bidiefono collabore également avec de nombreux artistes tels que David Bobbée, David Lescot et Dieudonné Niangouna. Il expérimente de multiples terrains et se « confronte » de plus en plus à de nouveaux univers, nourrissant davantage son travail d’influences d’Afrique, d’Europe et d’Amérique.
En 2014, DeLaVallet impulse une dynamique culturelle nouvelle au sein du quartier de Kombé situé à 17 km au sud de Brazzaville, avec la construction de l’Espace Baning’art, premier lieu indépendant dédié à la création artistique au Congo.
Imaginé par DeLaVallet et co-construit avec l’association Globe Trot’Art, ce lieu se transforme en quelques mois en un véritable moteur de développement artistique, social et économique du quartier de Kombé et devient très rapidement un espace de création, de diffusion et de formation essentiel dans le paysage culturel et artistique du Congo-Brazzaville.
Quatre ans plus tard, il fonde à Brazzaville la Compagnie Baninga et signe sa première pièce Liberté d’Expression.
En 2008, la compagnie acquiert une renommée internationale, en remportant, grâce à la pièce N’Djila na N’Djila, le second prix du concours Danse l’Afrique Danse des 7èmes Rencontres Chorégraphiques de l’Afrique et de l’Océan Indien, organisé à Tunis.
DeLaVallet Bidiefono collabore également avec de nombreux artistes tels que David Bobbée, David Lescot et Dieudonné Niangouna. Il expérimente de multiples terrains et se « confronte » de plus en plus à de nouveaux univers, nourrissant davantage son travail d’influences d’Afrique, d’Europe et d’Amérique.
En 2014, DeLaVallet impulse une dynamique culturelle nouvelle au sein du quartier de Kombé situé à 17 km au sud de Brazzaville, avec la construction de l’Espace Baning’art, premier lieu indépendant dédié à la création artistique au Congo.
Imaginé par DeLaVallet et co-construit avec l’association Globe Trot’Art, ce lieu se transforme en quelques mois en un véritable moteur de développement artistique, social et économique du quartier de Kombé et devient très rapidement un espace de création, de diffusion et de formation essentiel dans le paysage culturel et artistique du Congo-Brazzaville.