
Retour en images sur l’exposition et l’œuvre de l’artiste aux multiples facettes Catherine Meurisse : illustratrice, caricaturiste et autrice de bande dessinée.

Planche n°4 parue aux éditions Dargaud, 2018.
Mise en couleur d’Isabelle Merlet.
Dans Les Grands espaces, Catherine Meurisse se représente surtout enfant. C’est par l’intermédiaire de son personnage de petite fille qu’elle va retranscrire ses souvenirs.

Planche n°4 parue aux éditions Dargaud, 2018.
Mise en couleur d’Isabelle Merlet.
Perchée sur sa meule, la petite Catherine veut embrasser le vaste monde. Depuis La Légèreté, son trait s’est assoupli.

Planche n°4 parue aux éditions Dargaud, 2018.
Mise en couleur d’Isabelle Merlet.
On remarque – sur les vaches, le champ, les bottes de foin – l’influence de la peinture classique sur son dessin.

Planche n°29 parue aux éditions Dargaud, 2018.
Mise en couleur d’Isabelle Merlet.

Planche n°67 parue aux éditions Dargaud, 2016.
Plume, encre de Chine et encres de couleur.
La couleur fait irruption par à-coups dans La Légèreté, comme dans les branchages de cet arbre, directement dessinés à l’encre de couleur.

Dessin original, pages 86 et 87, paru aux éditions Dargaud, 2019.
Gouache, encres de couleur.
Cette relecture de La Mort de Sardanapale montre avec quelle fougue et quelle énergie renouvelées Catherine Meurisse s’investit dans l’exploration des couleurs et dans les jeux avec la matière. De nouvelles pistes de travail.

Planche originale parue dans Scènes de la vie hormonale aux éditions Dargaud, page 32, 2016.
Plume, encre de Chine.

Ma tata Thérèse, texte Fabrice Nicolino, illustrations par Catherine Meurisse, Éditions Sarbacane, 2012.

Diogène, texte de Diogène Mantinée et Diotima Mantinée, illustrations par Catherine Meurisse, Les Portes du monde, 2003.