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« Hello world » Ballarat International Foto Biennale, Australie
2 minFondée en 2005 dans l’État de Victoria, le Ballarat International Foto Biennale est le festival de photographie contemporaine le plus important d’Australie. L’Edition 2019 présente du 24 aout au 20 octobre quelques 200 artistes dans 80 lieux disséminés dans la ville, musées, centres d’arts, galeries, espaces urbains et propose durant un mois et demi un programme de workshops, séminaires, projections, masters-classes, conférences, présentation de portfolios, Prix et un programme d’éducation à l’image.
Sont présents les artistes français Noémie Goudal à la Art Gallery of Ballarat, Mathieu Asselin au National Centre for Photography et Vincent Fournier dans l’exposition collective "To the moon and back” qui célèbre le 50è anniversaire d’Apollo 11 à la Ballarat Municipal Observatory and Museum.

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2/12BAIKONUR CITY #2, de Vincent Fournier
Vincent Fournier a une fascination, esthétique, philosophique et ludique pour l’aventure spatiale.

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3/12ERGOL #12, de Vincent Fournier
Vincent Fournier a arpenté les lieux mythiques de l’exploration spatiale : la Cité des Etoiles en Russie, les centres de lancement Cap Canaveral aux Etats Unis, Baikonur au Kazakhstan, Ariane Espace en Guyane, les observatoires d’étoiles dans le désert de l’Atacama au Chili, au Nouveau Mexique dans le Nevada, la base de simulation martienne dans le désert rouge de l’Utah.

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4/12SLS ROCKET SYSTEMS INTEGRATION #1, de Vincent Fournier
Pour « Space project » Vincent Fournier a volontairement mélangé une vision historique et documentaire de l’aventure spatiale avec des mises en scènes nourries par le cinéma et ses souvenirs d’enfance.

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5/12LOWER TORSO SECTION OF THE EMU USED FOR TESTING, de Vincent Fournier
Vincent Fournier a une fascination, esthétique, philosophique et ludique pour l’aventure spatiale.

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6/12SOKOL SPACE GLOVE, de Vincent Fournier
Pour « Space project » Vincent Fournier a volontairement mélangé une vision historique et documentaire de l’aventure spatiale avec des mises en scènes nourries par le cinéma et ses souvenirs d’enfance.

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7/12APOLLO 8 FIRING ROOM, de Vincent Fournier
Vincent Fournier a arpenté les lieux mythiques de l’exploration spatiale : la Cité des Etoiles en Russie, les centres de lancement Cap Canaveral aux Etats Unis, Baikonur au Kazakhstan, Ariane Espace en Guyane, les observatoires d’étoiles dans le désert de l’Atacama au Chili, au Nouveau Mexique dans le Nevada, la base de simulation martienne dans le désert rouge de l’Utah.

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8/12Telluris I, de Noémie Goudal
Le travail de Noémie Goudal explore le rapport de la nature à l’artificiel, de la science à l’imaginaire, du construit à l’inventé. Avec la série "Telluris", l’artiste exploite les théories anciennes de la formation du relief de la terre, en particulier des montagnes, qui font écho aux théories de la voûte céleste.

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9/12Telluris V, de Noémie Goudal
Noémie Goudal s’intéresse particulièrement aux thèses de mathématisation et géométrisation radicale du paysage qui permettraient de mieux l’appréhender et le comprendre.

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10/12Telluris X, de Noémie Goudal
Avec la création d’un ensemble réunissant photographie et installation in situ, Noémie Goudal explore et décline les espaces de montagnes, ce qu’ils représentent et ce qu’ils inspirent, entre géographie réelle et projection subjective.

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11/12Ho Chu Minh City, de Mathieu Asselin
Mathieu Asselin livre un témoignage des conséquences des produits chimiques de Monsanto sur la vie de milliers de personnes. Son enquête débutée dans l’Alabama a duré 5 ans, et l’a mené jusqu’au Vietnam, où les conséquences de l’usage de l’agent orange, l’herbicide utilisé par l’armée américaine à des fins militaires entre 1959 et 1971 est dévoilé au public. Sur plusieurs générations, les enfants ont été victimes de déformations à leur naissance.

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L'Institut français et les artistes

Mathieu Asselin, Vincent Fournier et Noémie Goudal ont bénéficié du soutien de l’Institut français pour participer au festival de photographie contemporaine le plus important d’Australie.